Gestionnaires de démarrage contrôlent boot.
Un gestionnaire d’amorçage vous permet de choisir quel système démarrer à l’allumage, par exemple un système de travail, un système familial ou un environnement de test. Il aide aussi à réparer le démarrage en retrouvant les bons fichiers. C’est utile si vous partagez l’ordinateur, testez de nouveaux systèmes ou avez besoin d’outils sûrs. Des menus clairs facilitent le bon choix. Bien réglé, il garde l’ordinateur souple et fiable.
Installez ou activez le gestionnaire fourni par votre système, puis ajoutez chaque système d’exploitation à son menu. Donnez à chaque entrée un nom court et clair comme « École » ou « Jeux ». Choisissez une option par défaut et un délai pour démarrer même sans action. Gardez le menu simple avec seulement vos systèmes utiles. Testez chaque option pour vérifier un démarrage et un arrêt sans erreur.
Ouvrez le firmware et vérifiez que le bon disque est premier dans l’ordre de démarrage. Si un câble est lâche, remettez‑le et réessayez. Utilisez les outils de réparation du système pour reconstruire les fichiers d’amorçage. Si le disque faiblit, copiez vos données avant d’autres tests. Étape par étape, vous retrouverez un démarrage fonctionnel sans tout réinstaller.
Le double amorçage offre toute la vitesse, mais il faut redémarrer pour changer. La machine virtuelle tourne dans le système principal, donc vous pouvez utiliser les deux en même temps, mais c’est plus lent et gourmand en mémoire. Choisissez le double amorçage pour jeux et apps lourdes, et la machine virtuelle pour des tests légers ou des logiciels scolaires. Choisissez selon vos tâches.
Protégez le firmware par mot de passe et laissez secure boot activé si vos systèmes le prennent en charge. N’ajoutez pas d’entrées d’origine inconnue. Mettez à jour le gestionnaire depuis des sites fiables uniquement. Si l’ordinateur est partagé, cachez les outils avancés derrière un mot de passe. Des règles simples gardent un démarrage propre et sûr.
Assurez‑vous que la partition du système est saine et marquée active si nécessaire. Lancez l’outil de réparation pour réajouter l’entrée, ou réinstallez les fichiers d’amorçage de ce système. Si vous avez déplacé des disques, mettez à jour l’ordre de démarrage. En dernier recours, supprimez et ajoutez à nouveau le système avec des réglages neufs. Les vérifications attentives ramènent souvent l’entrée manquante.
Un gestionnaire d’amorçage est un petit programme qui aide l’ordinateur à choisir quoi lancer à l’allumage. Il peut choisir un système, un mode sans échec ou un outil de récupération. Il affiche un menu simple puis passe la main au choix sélectionné.
Installez le système sur un autre disque ou une partition. Après l’installation, ouvrez l’outil du gestionnaire d’amorçage et scannez les systèmes. Ajoutez l’entrée trouvée et nommez‑la clairement. Réglez le choix par défaut et un délai, par exemple 10 secondes. Testez en redémarrant.
Mettez votre système principal, un système de secours et un outil de récupération. Ajoutez le mode sans échec pour corriger des pilotes. Si vous utilisez Linux et Windows, listez les deux avec des noms clairs. Placez l’élément le plus utilisé en tête et par défaut.
Ouvrez les réglages du gestionnaire d’amorçage dans le système, ou le menu du firmware au démarrage (souvent appelé BIOS ou UEFI). Vous y réglez l’entrée par défaut et le délai. Notez les valeurs actuelles avant de changer.
Mettez à jour le menu lorsque vous ajoutez ou retirez un système, changez de disque ou après de grosses mises à jour. Un contrôle mensuel rapide suffit le plus souvent. Vérifiez que les noms sont justes et que le défaut démarre bien. Un menu propre fait gagner du temps et évite les erreurs pressées.
Le menu du gestionnaire est convivial et permet de nommer clairement, idéal en famille ou sur PC partagé. La liste du firmware est basique mais marche même si le système est cassé. Servez‑vous du menu au quotidien et gardez la liste firmware en secours. Les deux offrent confort et filet de sécurité.